Jean Rocci-Arnaud Dos Santos-Daniel Druda-François Bruant
Mais un très bon souvenir pour le Webmaster c'est...
Les 110 ans du FCR
Merci à Jean Claude Delabarre et Daniel Druda
pour l'organisation...des 110 ans du FCR
UN SUPER BON SOUVENIR...
Le webmaster
Merci aux anciens joueurs
pour leur participation
aux 110 ans...du FCR
J.P ORTS - Patrick MARTET - Le webmaster - Nénette - Christophe LECHEVALLIER
Et Michel TITECA et Yan SOLOY
L'équipe des 110 ans
Christophe LECHEVALIER
L'équipe des 110 ans
Roger HITOTO et Jean Pierre ORTS
Michel Bensoussan
Roger HITOTO et le webmaster
Didier Monczuk et le webmaster
Jacques Mogis
Armando Bianchi
Armando Bianchi et Didier Notheaux
Arnaud Dos Santos et Jean François Beltramini
Albert Lemaître
Michel BENSOUSSAN et Jean Claude DELABARRE
Léon Vitulin
Michel Bouvré
Michel Titeca
Pascal Amours
Abdel Bourebou
Le webmaster et Stéphane Morillon
Merci pour les 110 ans....super souvenir
Le webmaster ....un "Cul Rouge"
ROBERT DIOCHON
Né en 1883 et mort le 14 septembre 1953, Robert Diochon est le co-fondateur du Football Club de Rouen en 1899.
Joueur du FCR (il a même porté le brassard de capitaine),
il en devient le Président en 1906-1907 puis de 1908 à 1953. Pendant les 47 ans de sa présidence, l
e club rouennais est devenu professionnel et a remporté le titre de champion de France en 1945. A sa mort, le stade des Bruyères, où joue le FC Rouen depuis 1913, est rebaptisé stade Robert Diochon.
Daniel Druda
Le joueur du FCR
avec le plus grand nombre
de match en D1 au FCR.... 275 matchs
Merci Daniel...Le webmaster....
Effectif 78-79
Les années "bonheur"
Les années 82-83/83-84/84-85
3ans en D1
De gauche à droite : Pelletier-Buisine-Malbeaux-Monczuck-Alberto-Dideaux-Recordier-Sence-Bensoussan-Amours-Desbouillon-Montheilh-Robert Vicot-Heaulmé-Bertelsen-Beltramini-Mogis-Morillon-Garcia-Gallou.
Dans le grenier à souvenirs
Le 30 mars 1993
Résultat perdu 1 à 0
En coupe de France contre l’OM grâce à un penalty imaginaire
Voir la vidéo
Les Marseillais Champion's ligue se qualifient pour les demi-finales
Devant 17000 spectateurs à Robert Diochon.
Mais mauvais souvenir pour
Christophe Lechevalier
LA CARRIERE DE CHRISTOPHE
Christophe LECHEVALLIER est né le 15 juillet 1965.
Gardien de but, il arriva au FC Rouen en 1984 en provenance de l´US. Normande.
C´est lors de la saison 86/87 que Christophe brigua la place de titulaire dans le but Rouennais, alors qu´il n´est âgé que de 21 ans. Le FCR, après sa chute de la D1 à la D3 en deux saisons, décide de lancer des jeunes du club dont Christophe.
Pari réussit pour Christophe qui sera auteur d´une très belle saison avec la remontée en D2 au bout.
Le club décide alors d´engager Hagenbach, jugeant Christophe encore jeune et sans expériences.
Mais Hagenbach n´apportera pas toute la sérénité recherchée, et Christophe prendra la place de titulaire définitivement lors de la saison 88/89 pour ne plus la lâcher.
Mieux même, Christophe sera considéré comme l´un des meilleurs gardiens de la D2, où il sera même en contact avec les Girondins de Bordeaux, Metz ou encore Sochaux, alors en D1. Mais Christophe, en vrai "cul rouge" restera fidèle au FCR, avec l´espoir de découvrir la D1 avec son club de toujours.
Hélas, lors d´un 30 mars de 1993, Christophe se blessera grièvement à un genou lors d´un match de coupe face au grand Marseille. Le FCR alors leader de son groupe de D2, terminera à la 3ème place et sera battu en barrages par l´AS Cannes.
Pire même, Christophe fera son retour 14 mois après sa blessure, alors que le FCR est… en National.
S´en suivra le dépôt de bilan du club, et Christophe, malgré quelques contacts, décidera de raccrocher les crampons pro et signera une saison en amateur à Louviers. Merci Christophe.....le webmaster
Un gros boujou Christophe
et à bientôt.
Le Webmaster
Les années 76-77
1 an en D1
Les années 60
De 1960 à 1970....10 ans de D1
Photo dédicacée pour le webmaster en 1960
Patrice HEAULME
Moi quand je serai grand je serais "Footballeur"
C'est sous les couleurs du Red Star que Patrice a débuté
1er contrat de stagiaire au RC LENS
Arrivée au FCR en 1979
Il s'impose au FCR grâce à sa vitesse d'action,sa vélocité
mais surtout à l'enthousiasme
qu'il manifeste sur le terrain
et sa fraîcheur morale dans ce milieu.
Le webmaster en sait quelque chose...
avec toi Patrice que des très bons souvenirs
Il repart au Red Star en 1987
et revient comme adjoint de Laurent Roussey
l'entraineur en 1995-2000
Merci Patrice
Le F.C.R et l'équipe de France
Les internationaux du FCR
Que j'ai connu...
Champion Olympique en 1984 à Los Angeles: Michel Bensoussan
International Espoirs: André Betta
International Militaire: Jean Luc Buisine
International A: Jean Louis Buron
International A: Yvon Douis
International Espoirs: Daniel Druda
International A: Yvon Goujon
International Militaire: François Heutte
International Espoirs: Philippe Poulain
International A: Robert Pintenat
International A: Patrice Rio
Mais je n'est pas connus en 1937
5 rouennais dans les rangs de l'Equipe de France
Antoinette-André-Payen-Nicolas-Rio
Le webmaster
Souvenirs
Merci Max Schirschin
L'ancien joueur et entraineur du FCR
En 1ere division
Des années 1960
Nous a rappelé : sur Paris Normandie du Vendredi 30 Avril 2010
Le FCR est le seul club français à avoir battu deux fois de suite le Bayern Munich !
C'était en 1963, pour les quarts de finale de la coupe Rapin- coupe européenne qui deviendra Coupes des villes de foire.
Solide stoppeur à la touffe frisée aussi fournie que ses tacles sont appuyés, Jean-Luc Buisine est formé au FC Rouen de la grande époque. Très jeune il s’impose dans l’équipe normande comme un des tauliers du milieu de terrain. A 20 ans à peine, il est titulaire à part entière de l’équipe qui termine première de son groupe de D2 en 1982 à l’issue de la dernière journée de championnat contre le Stade Français. Dans cette équipe qui correspond à l’âge d’or des diables rouge on trouve notamment Michel Bensoussan, le gardien, Christophe Desbouillons, Patrice Heaulmé au milieu, Jean-François BeltraminiDidier Monczuk et Pascal Malbeaux en attaque. Pour sa première saison parmi l’élite, Jean-Luc connaîtra quelques pépins, sans doute dus à la différence de niveau. Très vite dans le bain, il s’affirme comme un joueur très prometteur. Las, l’aventure rouennaise en D1 ne dure que 2 saisons, le temps pour Jean-Luc d’être appelé en équipe de France espoir. Il reste en Normandie une saison en D2 avant de rejoindre le LOSC en 1986.
Au LOSC, Jean-Luc va se repositionner en stoppeur où il va donner sa plaine mesure. Bon club de milieu de tableau, avec un effectif moyen plus, les nordistes passe des saisons assez tranquilles, oscillant entre la 8ème et la 12ème place. Eternel espoir Jean-Luc n’arrive pas à franchir ce cap qui le permettrait de briguer éventuellement une place avec l’équipe de France A’, voire A étant donné le contexte de l’époque… En 1988, à 27 ans, il est le capitaine de l’équipe de France espoir qui s’impose lors du championnat d’Europe. C’est la génération des Paille, Cantona, Roche, Sauzée, qui connaitra une fortune diverse… A la suite de ce titre, l’unique de sa carrière, Jean-Luc va connaître une saison mi-figue, mi-raisin. Victime d’une blessure en cours de saison, il peine à revenir et son club décide de le prêter une saison à Strasbourg, alors en D2…
Son passage en Alsace laisse plutôt un bon souvenir aux supporters. Le Racing est candidat à la montée et le doit en grande partie grâce à son stoppeur de talent. Malheureusement, l’épopée s’arrêtera lors des barrages, face à Nice.
De retour à Lille, Jean-Luc s’installe dans le confort du milieu de tableau. Sa carrière commence à sérieusement décliner à partir de 1992. Et c’est justement à cette époque que le LOSC commence à descendre dangereusement au classement. Moins Jean-Luc joue et plus les lillois luttent pour ne pas descendre. Il raccroche les crampons à 33ans, avec plus de 240 matchs de D1, laissant le souvenir d’un stoppeur efficace, dévoué à son club…
Que devient-il ?
Jean-Luc décide de rester dans le football. Responsable de la formation à l’USL Dunkerque puis Directeur sportif, il se fait les dents au métier de dirigeants. En 98, il donne une nouvelle orientation à sa carrière en devenant agent de joueur, profession qu’il exercera 5 ans durant. Multipliant les contacts, il se fait un carnet d’adresse qui lui sera très utile plus tard.
En 2003, le LOSC le rappelle pour prendre en charge la cellule de recrutement des Dogues. Avec peu de moyens, il fera quelques gros coups comme Bodmer, Kader Keita ou Michel Bastos.
Avec le départ de Claude Puel et celui d’Alain Fiard, un vent de démission l’annonce un peu partout à l’été 2008. Le PSG se renseigne, pour remplacer un Alain Roche assez décrié, mais finalement il reste à Lille. Toutefois, la révolution de palais en cours sur le Rocher pourrait venir à bout de sa fidélité. Il est en effet annoncé comme arrivant à Monaco pour prendre en charge une cellule de recrutement qui fait une peu n’importe quoi depuis plusieurs saisons…
Aurjourd'hui
Saison 2013-2014
Responsable du recrutement du Stade Rennais
Philippe Redon
En vrai professionnel, Philippe REDON a su donner à ce centre de vacances tous les ingrédients de la réussite.
Son expérience des enfants, sa compétence, son sérieux et ses qualités morales ont été la garantie de la qualité éducative et sportive de ces stages.
Professionnel Entraîneur - Intructeur de football
Du Joueur ...
* Plus de 300 matchs en division 1 de 1970 à 1985 avec le stade Rennais,
le PSG, Bordeaux, Metz, Laval, Rouen, Saint Etienne, ... * Participation : Coupe d'Europe * Sollicité par le Club de Lisbonne en 1979 et plusiieurs Clubs Allemands en 1980 * Sélectionné en équipe de France à tous les niveaux
(scolaire, universitaire, junior, militaire, amateur, olympique, espoir, équipe B, équipe A ...) * Élu Meilleur Joueur Français à son poste en 1982 - 1983
... à l'Entraîneur
* RC Lens, US Créteil * Équipe nationale du Cameroun (Roger Mila) * Équipe nationale du Libéria (Georges WHEAH) * Champion d'Afrique (jeux Africains, Égypte 1991) * Demi-finaliste de la Coupe d'Afrique (Sénagal 1992) * Entraîneur Adjoint au Stade Rennais * Intructeur FIFA
Merci Philippe et....au revoir ...Le Webmaster triste
Philippe est parti à l'âge de 69 ans des suites d'une longue maladie.
je confirme pour tes qualités morales et ta compétence
Le webmaster
Michel Bensoussan
A bientôt Michel.... ton fidèle supporter
Nenette-Michel-Le webmaster-Colette
Le webmaster
" Mimi "dans les bois
La suite.....mais en DH
Saison 2013-2014
Interview de Michel Rodriguez
Les inter-saisons ont souvent été agitées au FCR ces dernières années, l’annonce de la DNCG le 1er juillet vous a-t-elle surpris ?
La surprise fut énorme, rien ne semblait dire que l’on serait dans cette situation aujourd’hui, une bonne équipe, un joli contrat de partenariat avec la Matmut…
A l’annonce du verdict du CNOSF, n’avez vous pas eu envie de partir loin de ce club qui décidément n’est pas un club comme les autres ?
Je suis marié et père de 3 garçons, la famille se plaît ici et il était très difficile d’organiser un départ. J’avais des perspectives d’avenir au club, nous avons décidé avec mon épouse que l’on tentait de s’installer sur Rouen dans le but d’assurer de bonnes conditions de scolarité et un environnement serein pour nos enfants.
Quel sera votre rôle précisément dans l’association du FCR ?
J’ai rencontré le Président Fabrice Tardy qui m’a proposé de faire partie intégrante du projet de reconstruction du club. J’étais déjà inscrit en 2ème année de Master en Marketing et Management des Structures Sportives Professionnelles. La priorité à ce jour est que je sois performant en tant que joueur de l’équipe 1ère.Dans le cadre de mes études à la Fac j’effectuerai normalement mon stage au club en tant que responsable marketing et communication sous la responsabilité de Sébastien Vilain et Eric Rastell. Je souhaite également me rapprocher de l’ensemble des éducateurs et mettre en place s’ils sont « ok » des séances spécifiques sur l’animation défensive. Le but au cours de cette année de transition est que je m’imprègne de tous les rouages de fonctionnement du club afin d’être le plus efficace.
Dans ces moments difficiles avez -vous eu des soutiens de connaissances d’autres clubs (joueurs, entraineurs…) ?
Comme dans tous moments difficiles on sait ensuite sur qui on peut vraiment compter. Maintenant tous les clubs et donc les personnes qui y travaillent ont déjà beaucoup de soucis à gérer à leur niveau, leur soutien fait donc plaisir.
Les supporters sont très touchés de vous voir rester malgré ces déboires. Peut-on en déduire que vous faites partie des « culs rouges » ?
Ma philosophie est de vivre pleinement le moment présent et toujours se projeter sur l’avenir. C’est pourquoi je me suis toujours investi à fonds dans tous les clubs où je suis passé. Aujourd’hui je suis attaché à la ville et au FC Rouen. Ce n’est pas à moi de dire si je suis un « cul rouge », j’en prends le chemin si ce n’est pas encore le cas, mais j’ai trop de respect pour toutes ces générations qui suivent le club depuis de nombreuses saisons. Maintenant pour répondre je veux bien faire partie des « culs rouges »
Comment s’est passée votre intégration au milieu des « Jeunes Pousses ». Que pensez-vous leur apporter ?
Le travail effectué par les éducateurs est de qualité, les jeunes ont de bonnes capacités. C’est à nous les plus anciens de les mettre dans les meilleures dispositions afin qu’ils s’expriment. On compte ensuite sur eux pour nous pousser dans nos limites, tout cela dans un seul but, obtenir des résultats.
Après la série des matchs amicaux , le groupe est-il prêt ou en recherche encore de cohésion ? Vous êtes compétiteur avant tout, la montée est-elle votre objectif ?
Pour que le groupe donne sa pleine mesure il faudra du temps. On travaille bien autour de Hakli et Eric. Les objectifs sont de faire du mieux possible, être irréprochable dans le comportement sur et en dehors des terrains. On verra bien où cela nous mènent.
Pensez-vous rester dans le monde du football à moyen/long terme ? Je suis un passionné de football, je souhaite réussir ma reconversion autour de ce sport. Maintenant je ne perds pas de vue que la vie est difficile pour beaucoup et que je dois avant tout penser à ma famille.
Comment voyez-vous l’avenir du Football à Rouen ?
Le FC Rouen se relèvera. Pour moi c’est une anomalie de voir une telle agglomération ne pas compter plus de clubs dans les divers disciplines au niveau professionnel. Je ne suis pas ici depuis assez longtemps pour en connaître les raisons exactes. Le sport est un vecteur économique incontournable. On place plus facilement une ville sur une carte géographique quand celle-ci communique à travers des résultats sportifs. Moi qui suis originaire de Montpellier, pour tous mes amis « Rouen » c’est la campagne et la plupart ne saurait la situer exactement. Surement parce qu’il n’identifie pas la ville à un club. Le Fc Rouen peut et doit être celui là.
Aujourd’hui, son cursus en Master 2 Master Marketing et Management des Structures Sportives Professionnelles lui permet d’être impliqué dans le projet de reconstruction du FC Rouen, tombé en DH après avoir perdu le statut professionnel : «J’ai une semaine de cours et trois semaines de stage. J’ai intégré la cellule marketing». Avec les nouveaux dirigeants du FC Rouen, l’ambition est de retrouver rapidement le statut professionnel. Le potentiel est là. Le public, même en DH, se déplace en masse le week-end : 300 abonnés, 800 à 1 000 spectateurs en moyenne. Michel rechausse même les crampons pour encadrer les jeunes mais aussi parce que l’effectif était réduit : «Avec la relégation administrative, le retard pris dans le recrutement, il manquait 10 à 20 joueurs. Le club ne voulait pas faire monter les jeunes joueurs» (ndlr : les U17 sont en National et les U19 sont encore en lice en Gambardella)
Aucun regret dans le rétroviseur pour l’ancien cannois. Manager général, entraîneur ou encore responsable marketing, Michel Rodriguez peut se targuer de la noble fierté de pouvoir choisir son avenir grâce à ses diplômes. Et ce même s’il fait un piètre pronotisqueur.
Ses débuts chez les pros :
C’était à l’hiver 1997. Je jouais avec l’équipe réserve de Montpellier. L’entraîneur Mama Ouattara me sort à la mi-temps. Je ne comprends pas trop. Il me dit que je suis retenu dans le groupe professionnel pour affronter le FC Metz en Coupe de France. Je ne m’attendais pas à jouer mais juste avant le match j’apprends que je suis titulaire. J’étais jeune mais je ne suis pas posé de questions. J’avais déjà connu la pression avec les sélections de jeunes. Le résultat ? 3-3 avec une qualification aux tirs aux buts. Ma première rencontre en championnat fut plus compliquée. C’était à la Mosson, contre Strasbourg. Je rentre en cours de match. On perd 4-1 avec un triplé de Pascal Nouma. De mes débuts, je garde en tête les conseils prodigués par Pascal Baills (« le gagneur »), Thierry Laurey (« le tacticien ») et Bruno Martini (« le presque trop professionnel »).